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L’Institut de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) vient d’isoler une anomalie génétique sur les moules touchées par la vague de mortalité.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 3 mois par
administrateur. Raison: lien cassé
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Cette réponse a été modifiée le il y a 7 années et 3 mois par
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“Une étude[i] publiée par Abdellah Benabdelmouna et Christophe Ledu, de la station de la Tremblade (Charente-Maritime, Ifremer), vient jeter une lumière nouvelle: les lots de moules touchés par le phénomène s’avèrent atteintes de sévères anomalies génomiques, avec un nombre anormal de chromosomes. Car comme la plupart des êtres vivants dotés d’un noyau cellulaire, la moule dispose d’une paire de chacun de ses chromosomes («2n» chromosomes), faisant d’elle un organisme «diploïde».”
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Il suffit juste de faire un échange de naissains avec d’autres baies( ex envoyé des cordes de fouras vers la plaine et garnir fouras avec des cordes de la plaine ) pour renouveler la génétique et les chromosomes , de plus pour une culture durable il faudrait un apport artificiel constant de phytoplancton ( une étude à prouver que un macroplancton aurait dominer le phytoplancton intéressant pour la conchyliculture ( et puis la photosynthèse absorbe les molécules de dioxyde de carbone donc baisse de pollution voir projet en océan indien ) De plus le sédiment silice est quasi disparu et cest un élément essentiel . Toutes ces idées ont été transmise en 2004 lors de mon mémoire de stage afin de créer une activité durable mais aucune évolution . Une dernière chose surveiller le trafic des ports ( un navire qui arrive de Chine et ballast ces eaux sur La Rochelle il y’a à risque de de contamination d’espèces néfastes pour nos baies . Aussi les cordes decaptage devraient être fabriquées en france pas avec de la fibre de coco mais du chanvre récolté chez nous .
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